tristes ragots (PV: Bettina de Colsador )

* se promène avec Bettina de Colsador *

-vous n'auriez pas entendue parlez de la recente venue de Louise de Belgique, il paraît que les raisons de sa venue sont plus que incertaine !!!

*intervenant dans la discussion sechement*
<je suis venu pour voir Versaille et pour rendre visite a mon amie Charlotte>

*intervient à son tour (tout le monde se ramène) lol*

-oui mais quand nous prenions notre thé vous n'aviez pas l'air de vous occuper de moi !!!!

Si les bosquets étaient beaux,Bettina n'y risquait pas un regard,si les fontaines jouaient,elle n'y tendait pas une oreilles.
Son coeur était ailleurs,sa tète aussi.
Elle était comme un oiseau qui chante distraitement.
M.de Montespan la regarda d'un oeuil intérrogateur,l'air morose.Lui qui pensait s'amuser avec une si jolie jeune fille.
Mais Bettina n'écoutait pas,elle aurait pourtant dut.Son coeur séparé d'un dilemne aurait put y trouver réponse.
Un henissement de cheval la fit sursauter,elle sourit,une grimance de regret sur les lèvres.
Ces animaux qu'elle aimait tant autrefois.
Quand on l'aborda,elle prit quelques secondes à repondre:
-Pardon?
D'habitude elle adorait les ragots mais n'y avait décidement aujourd'hui pas le coeur.
A cette seconde,cet instant,cet éclair,Bettina comprit qu'elle détestait Versailles.

*d'un ton offensé a charlotte *
<J'ai quand meme pris de vos nouvelles et la reine est bien plus importante que vous jeune fille>

*se perd dans la comtemplation des alentours*

décidemment !!!! c'est un autre temps pour la cour et les nuages de l'hiver qui arrivent vers notre château ont l'air de couver bien des scandales

*se tourne vers bettina*

- je comprends votre tristesse.

Bettina sourit à cette réponse et se tourna vers celui qui l'avait proférée:
-Ces temps ne sont ni les meilleurs ni les plus charmants,repondit-elle.
Elle savait malgré tout que son chagrin était incompréhensible,et qu'il n'était certainement pas dut à la météo.

se tait, il éssayait juste de réconforter bettina mais il n'avait pas les mêmes problèmes, et la découverte du roi à propos de ses raports avec Louise Ière allait peut-être lui faire perdre de la considération de la part des membres de la cour

*il se tourne vers Bettina*

-à près tout, ces ragots ne vous intéresse surement pas !!! Depuis quand êtes-vous à Versailles aujuste ?

il éssayait d'éviter le sujet des ragots, de crainte de mettre la petite reine de Blgique en colère

Quoi qu'elle en prétende,Bettina aurait dut préter oreilles aux ragots,elle en aurait plus apprit qu'en se morfondant.
Son coeur tiraillé n'avait hélas plus aucun gout à ces enfantillages et elle fut sincerement surprise que M.de Montespan s'acharna à lui parler.
-Oh depuis fort peu.Ma mère m'a envoyé ici récement.
Il la scruta d'un oeuil inquisiteur.
Mais que pouvait-elle ajouter?Mon père,mes frères me manquent?
C'aurait été mentir et Bettina savait,malgré son caractère parfois peste,très mal le faire.

HJ:le dernier message vient en réalité de Monsieur de Montespan. dsl

HJ:J'avais déviné,MDR".
Un oiseau de passage,un coeur et une image.
Tout et rien se mélangeaient dans le coeur à sensation d'une jeune fille pas encore adulte mais plus enfant depuis un certain temps.
Elle se sentait entre deux eaux,coincée,écrasée.On la regardait comme une privilégiée,elle se voyait plus malheureuse qu'elle ne l'avait jamais été.
Et pourtant,cette fois,sa famille n'était pas là.
Au loin,un bruit sourd et soudain les fit tous sursauter.Bettina en particulier.
-Madre de Dios,s'écria-t-elle en courant dans la direction.
Ce son avait rouvert une plaie,le souvenir trottait comme une chanson maléfique et répétitive dans sa tète.

*regerde Bettina s'éxiter sans raison visible à ses yeux*

-mais que lui arrive-t-elle ?!

*se détourne afin de partir pour son cours particulier*

*essaie de rattraper Bettina, lui attrape le bras*

-mais que vous arrive-t-il donc, pourquoi êtes-vous venue à la cour puiseque vous avez l'air de la détester ? Où est votre famille ?

*essaie de lire dans ses yeux mais n'est pas très doué pour cela et finit par la relacher*

*Comme personnes ne semble s'intereser a elle , elle coure rattraper Charlotte et essaye de gagner son amitié*
-Cher Charlotte, pourait je , avec vous , assister a votre cours???

*attrape la petite Louise par le bras et la retiens*

-voyons, ce ne sont pas des manières !

*reporte son attention sur Bettina*

-je comprendrais que vous ne vouliez pas me racompter votre histoire, néamoins, je serais là si l'envie vous vient.

*pose une main rassurante sur son épaule*

*fort mécontente essaye de disparaitre discretement pour
aller se reposer dans ces appartements*
-Je crois que je vais aller me reposer je me sens fatiguer
...

*se retourne*
*s'apprète à allé voir son amie*
*mais s'en va*

-Aurevoir Mme de Colsador.

Cette personne avait l'air gentille.

Bettina se retourna,elle était à la cour que diable!
Elle fit son plus beau sourire repentant.
Que dirait sa mère si elle apprenait ces folies,honte sur la famille,honneur bafoué.
De plus,devant la Dauphine!
Essayant de se faire racheter par tous les moyens,elle s'approcha de la petite Charlotte et demanda d'un ton suppliant:
-Je...vers...pourrais...Je pourrais vous accompagner vers...vos appartement...pour...pour la compagnie?finit-elle en un souffle.

*Revenant sur ses pas elle se dirige vers Bettina*
-Si Charlotte ne peut pas vous raccompagner moi je le puis.

Bettina fit son plus beau sourire:sauvée!
Une grande dame,à n'en pas douter.
-Rien ne me ferait plus plaisir.Rappellez moi votre nom...voulez vous?

* se retourne*

j'en serais ravie Bettina, mais c'est un cours particulier où je vais,j'espère pourtant vous revoir bientôt .

*sourit avec gentillesse*

* Esr trés contente de trouver qulequ'un qui parait normal et non-Hypocrite*
-Appelez moi Louise...
*Essai de trouver quelque chose dire*
-Dites-moi comment trouvez vous versailles?

*se redresse, les "poursuit"*

-et si nous allios dans mes appartements afin de boire un thé que je viens d'acquérir et qui me vient tout droit de chine.

*sourit*
*se croit irrèsistible*

Bettina fut prise d'un pitié miséricordieuse envers cet homme et sa supèrieurité.
Toutefois,un thé de Chine lui faisait terriblement envie-mème si elle doutait fort de son pays d'envoi.
Et plus que tout,pour rien au monde elle n'aurait voulu répondre à la question de la gentille Louise...
-Avec plaisir,répondit-elle.
Elle savait sourire et ne s'en servait certainement pas avec modération.
Elle savait éblouir.
Et elle sourit.