La fin d'une vie ? (PV:Louise de Ière et se proches)

*sent une sueure froide sur son front, l'essui*

-maman j'ai mal

*gémit, souffre atrocement*

[i]Avec le temps, pensa-t-elle tristement, je m'abituerais à cette horrible douleur et aux visites des gens de la cour

[i]*soupir*

*Est désespérée*
*Ne sait plus quoi faire. Non seulement, elle est malade et ne l'a pas encore dit à ses proches, mais en plus sa fille l'est aussi.

-Ma chérie !

*Deamande à un valet de faire sortir tous les gens de la cour.*

HJ : tu mets ce qu'on a écrit en perm' ?

*elle n'entendait même plus les plaintes affolées de sa mère, alors qu'elle commençait à se faire à cette désagréable sensation, quelque chose se déchira et une douleure qui émanait de la torture déferla sur son ventre, elle [color=red]SE PLIAT EN DEUX *

-maman...

*mais sa voix était si faible qu'elle n'était pas sûre que sa mère puisse l'entendre. Sa gorge se nouet, puis, tout devint noir*


EDIT : tu veux jouer ??? [color=red][color=red]

*Louise prit sa main, et carressa doucement le visage de sa fille, en sueur à cause de la fièvre. Elle avait aussi peur que Charlotte souffrait. Si elle venait à mourir, Louise ne s'en remettrait pas.
Soudain, sa fille poussa un hurlement de douleur, qui rompa net le silence qui s'était installé dans la pièce.
Louise ne pouvait plus arrêter ses larmes.*

-Charlotte, ma chérie !

*Louise pleurait à n'en plus finir. Elle avait beau être Reine, la perte de sa fille serait insoutenable.
Soudain, Charlotte sembla sombrer dans l'inconscient. Louise hurla et se précipita sur les fenêtres pour les ouvrir, puis revint au chevet de sa fille.*


HJ : j'ai changé le titre, c'est plus horrible comme ça !!!

*Charlotte était pourtant parfaitement consciente de ce qu'il se passait mais elle avait une vue de haut comme si cette dernière s'était envolée jusqu'au plafond. C'est ainsi qu'elle remarqua une éceurente coulée de vomi déborder de la bouche de son corps toujours allongé sur le lit, soudainement elle se sentit ccomme attirée vers le bas et tout s'accéléra ...*

*Elle ouvrit les yeux, cette fois bien sûre d'être dans son lit, elle vit sa mère, el larme à ses pieds , et qui n'avait pas remarqué son reveil*

-ça va aller mère ...

*épuisée, elle ferma les yeux pour se reposer*

*Louise pleurait toujours, mais le réveil de sa fille l'avait rassurée. Elle fit appeler un médecin*

HJ : Mariiiioooonnnnn !!!!!!!!!

*Charlotte n'aimait pas le méchant médecin, il lui faisait peur, comme tout les médecins avec leurs épouvantables saignées, il fallait faire comme si tout allait bien, alors, combattant la douleure lancinante que lui faisait subir cette action, elle s'assit sur son lit*

-Je vous assure maman, qu'il n'y a rien d'alarmant à tout cela, je souhaiterait juste voire mon père et ma préceptrice.

Elle eu une pensée pour sa faux-jeton de cousine, elle était à présent presque sûre que son immonde chocolat était la racine de tout ce qu'elle traversait maintenant. Elle ne souhaitait pas la voire tant que sa mère était là mais elle comptait bien lui parler de ce qu'elle avait appelé "un chocolat qui se boit sans soif".

*Arrive, allarmée*

-Charlotte !

*Regarde la Reine*

-Que s'est-il passé ?

*Déteste la Reine depuis toujours sans savoir pourquoi*

*La regarde*
*Sait très bien pourquoi Marie la déteste autant*
*Préfère le garder secret*

-Elle... Elle est malade !

*Caresse le front de sa fille*

*sent une certaine tension entre la Duchesse et sa mère: cele l'avait toujours faite rire, les adultes coyant que les enfants ne comprenaient jamais leurs histoires, mentaient très mal !*

-Je vais bien, mais maintenant je voudrais voire ma préceptrice et mon père !!

*adresse un vague signe de tête au médecin qui s'approchait pour la saignée*

*était à une chasse qui durait depuis 3 jours (pas celle avec Monty)*

*a été prévenu par des paysans qui s'étonnaient de le voir à la chasse au
lieu d'être au chevet de sa fille*

*arrive dans la pièce en habit de chasse, son chapeau de travers ayant perdu presque toutes ses plumes, une longue déchirure dans sa veste et une moins longue dans sa culotte*

*se précipite, tout en bousculant les noble qui sortaient encore de la pièce (des sadiques qui aimaient voir souffrir les petite filles et qui s'étaient attardés pour voir cet horrible spectacle, mais qui ne tenaient pas vraiment à se faire casser la figure par un roi enragé et désespéré)*

*court vers le lit ou est étendue sa fille*

*se positionne près de sa femme*

*se penche vers sa fille*

*murmure*

-Charlotte...

*une larme coule sur sa joue*
*prend la main de la reine, la serre dans la sienne*


HJ: c'était Juan-Carlos qui devait dire ça! dsl, je me suis plantée.Imaginez que c'est pas Madame qui l'a écrit, OK?

*regarde son père à travers sa vue voilée *

C'est lui mon ange gardien, je ne savait pas qu'on le voyait avant de mourrir, je pensais qu'on voyait sa vie défiler

*ferme les yeux*

*grimace de douleure, n'a PAS LA FORCE de se plier en deux mais gémit*

-Quand est-ce que tout cela finira ?

*hurle de douleure, soudainemet secouée de spasmes*

*hurle*
-CHARLOTTE!!!

*lâche la main de son épouse*
*tient sa fille pour ne pas qu'elle ne tombe de son petit lit de malade*
*relève des yeux brillants de larmes que son rang l'empêche de faire couler*

*murmure à la cantonnade, son énergie disparue aussi vite qu'elle était venue*
-Aucun médecin n'est donc à son chevet?

*murmure*

-je n'en veux pas père .

*tousse*
*gémit*
*crie*
*hurle*
*perd la tête et voit tout de travers*

-Non, non père ne laissez pas l'éléphant me toucher !

*tend une main accusatrice vers sa mère*
*continue ses hallucinations*

-et ramassez mon mouchoir !

*pointe son doigt vers le sol immaculé*
*se tord en deux, crache sa bile sur son lit et ses vêtements, ses yeux se révulsent*
*sent sa conscience la quitter, ferme les yeux, suffoque*

*est complètement déboussolé ( )*

-L'éléphant? le mouchoir? Mais que...

*à ce moment Charlotte suffoque*

*maintient sa fille assise pour lui tapper dans le dos*
*ne fait pas attention au vomi qui tâche son somptueux habit de chasse*
*tappe dans le dos de la malade*

*crache ses tripes*

*re-vomit*

*sent une violente douleure dans son estomac et se colle les mains au ventre comme si cela aller y changer quelque chose*


-bcjvzfjvgjzbv jdfbv dfbvfbvnfbvnfbvnzdfbvfdbvdfbvzdfb

*se calme, non pas que la douleure se soit calmée, mais elle l'endort*

*ferme les yeux et se sent brusquement seule, consciente que personne n'est pourtant prti de la pièce*

*regarde sa fille pendant près d'une minute*
*finalement, il se tourne vers la Reine, étonné*

-Louise? Dort-elle?

*soudain, une éventualité lugubre s'offre à lui*
*devient comme ça , murmure*
-Elle ne peut pas être...

*reste couchée, sent les forces la quitter*
*dodeline de la tête*
*expire et n'arrive pas à inspirer*
*tombe dans un gouffre sans fin et se sent comme tirée vers le bas............*
*s'endort avec l'incertitude de se révéiller un jour*

H.J:Nan reste en vie on tient a toi!!! appelez le médecin!!!!Vite!!!!

HJ: bah appel le le médecin toi !!!! moi je suis dans les vappes je te rappel

*tremble de froid*
*a très froid*
*sent sa gorge devenir sèche et commence à suffoquer*

Je n'ai jamais cru à l'histoire racontée par ma preceptrice qui disait que avant de mourir, on voyait sa vie défiler devant soi, je n'ai jamais rien cru de toute manière, je n'ai toujours eu fois qu'en moi et mes proches sans jamais faire confiance à personne . Mais pourtant, le jour de ma mort je me suis rappelée par images troubles l'histoire de ma vie, je ne l'ai pas trouvé glorieuse, je me revoyais, autoritaire, gamine capricieuse et écervelée faisant vivre mon entourage dans l'anxiété d'avoir à affronter une crise de colère, de larme ou de gentillesse afin d'obtenir ce que je voulais. J'ai eu honte de moi, j'aurais voulu devenir gentille et réparer tout ce que j'avais fais, car rien de ce que j'avais fais ne méritait d'être laissé en etat, mais c'est trop tard maintenant, je ne pourrais plus faire disparaître mes erreurs dérrière des réussites, c'est fini.
Je suis morte.

HJ : Marion, je te rappelle quand même que c'est toi le médecin et qu'on t'as appelé dès le début du topic !

*Pleure toujours*
*Ne répond pas à son mari*
*Voudrai que François soit auprès d'elle, mais il est à Paris*
*Se lève*
*Va prier, ne pouvant plus supporter de voir sa fille souffrir ainsi.*

HJ: Mais je souffr plus j'ai dit que j'étais morte !!!!! dis ça quand je serais réssucitée !!

HJ : nan mais tu rêves là ! Je veux pas que ma file elle meure ! C'est hors de question !

HJ: Tu laisse même pas de suspense.

Je décidais que... NON, non je ne laisserais pas une vie aussi inacomplie et aussi triste dérrière moi, je décidais que je me battrais pour rester le temps qu'il faudra, afin de corriger mes erreurs passées et à venir.
férocement, je me battais, je me battais pour ne pas aller dans ce tunnel noir mais attrayant.
Je me battais pour ne pas garder les yeux fermés.
Je me battais contre la douleure brulante qui me labourait les intestins.
Je me battais pour vivre.

*Charlotte ouvrit les yeux et vomit sur son lit poisseux de bile*

*est soulagé de voir sa fille vomir : ça veut dire qu'elle est vivante, car les morts ne vomissent pas, aux dernières nouvelles*

*est horrifié de voir sa fille vomir : cela veut dire que même si elle est vivante, elle souffre*

*est tout de même légèrement dégouté de voir les vomissures de sa fille se répandre sur le sol, sur le lit de Charlotte, sur Charlotte, sur les personnes à proximité du lit de Charlotte (dont lui)*

*jette un regard dégouté sur les vomissures*

*dit d'un ton las, désespéré, , fatigué, du ton qu'on emploie quand on a presque plus d'espoir*
-Il faudrait peut-être nettoyer ça. Ce n'est pas bon pour Charlotte de rester ainsi dans ces...choses.